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Cars : l’animation sur les chapeaux de roues !

Cette semaine sort le dernier opus des studios Pixar. Le film fait le plein d’humour et devrait ravir les amateurs d’animation mais aussi les grands enfants que sont les passionnés d’automobile.

Il est arrivé ! Le dernier bébé de John Lasseter (Toy Story 1 & 2, 1001 Pattes, Le Monde De Nemo) sera certainement encore en mesure de ravir les petits comme les grands. Celui qui a révolutionné le monde de l’animation a encore réussi son coup : excellente qualité de l’animation, humour à la sauce « Pixar » toujours efficace, voitures modélisées à merveille, de l’émotion (contribution Disney oblige), tout est là pour plaire au public le plus large, des petits jusqu’aux puristes automobiles les plus fondamentalistes.

Flash McQueen, bolide de course au caractère impétueux tout droit sorti d’un anneau de Nascar américain, se retrouve perdu dans une petite ville isolée sur la route 66. Pas vraiment son élément, jusqu’à sa rencontre avec les véhicules autochtones, dont une Porsche 2002 et une improbable dépanneuse rouillée qui lui feront comprendre que la vie n’est pas seulement question de compétition. Voilà pour l’histoire.

Une affaire de passion

A la genèse du film, il y a le réalisateur John Lasseter, un passionné d’automobiles qui, à 16 ans, était embauché dans une concession Chevrolet. C’est un périple en camping-car en 2000 qui lui a donné l’idée maîtresse pour faire ce film : lever le pied pour mieux repartir.

L’année d’après, l’équipe technique du film partait en voyage sur la route 66 afin de s’imprégner des lieux, et passa par la suite de nombreuses heures à étudier le comportement des voitures afin de mieux les humaniser. C’est justement cette anthropomorphisation des voitures qui rend les personnages si attachants, et les amateurs les plus pointus s’amuseront à reconnaître les différents modèles.

Une pellicule qui vaut la peine d’être vue, même si l’on est pas amateur d’automobiles : le film est visuellement très beau avec ses grands horizons poudrés. Que vous ayez le petit papier rose ou non, vous risquez d’adorer.

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