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Caterham Superlight R500 : le retour des beaux jours

Caterham annonce le retour de la Superlight R500 pour le printemps 2008. Avec un poids de seulement 506 kilos pour 263 chevaux, l’engin repousse les lois de la physique.

Avec l’arrivée du printemps, Caterham est sur le sentier de la guerre. Il faut dire que les conditions sont propices pour les roadstyers à la conception minimaliste, mais ô combien efficace, de la firme britannique.

La recette est simple : une caisse légère abritant un moteur compact et performant, des trains roulants taillés pour l’efficacité et l’éviction pure et simple de tous les équipements de confort du cahier des charges permettent ainsi de donner jour à des véhicules au charisme unique et aux performances électrisantes. Mais jugez plutôt.

« Light is right ».

L’ennemi, c’est le poids : l’adage de Lotus, se vérifie encore une fois sur cette Caterham Superlight R500. Ce modèle, déjà édité en 2000 avec un bloc d’origine Rover de 250 chevaux, revient sur les routes en adoptant cette fois-ci un Ford Duratec de 2 litres développant 263 chevaux.

Disponible à 8 500 tr/min, la puissance est associée à un couple de 245 Nm à 7 200 tr/min. La transmission est assurée en série par une boîte manuelle à 6 rapports, mais il est possible de bénéficier grâce aux catalogues des options d’une boîte séquentielle, également à 6 rapports. Au final, le 0 à 100 km/h est abattu en moins de 3 secondes (2,88 secondes exactement pour le 0 à 96 km/h, soit 60 miles par heure sur les terres de Shakespeare), et la vitesse maxi s’établit à 240 km/h.

Les trains roulants s’affichent toujours ostensiblement, annonciateurs de sensations grisantes pour le conducteur assis au ros du sol. De série, l’on retrouve un différentiel à glissement limité sur la R500 ainsi que des freins à disque ventilés, de quoi aider le conducteur, maintenu par des sièges baquets en carbone, à contenir le fougueux véhicule.

Facturé 36 995 livres, soit 46 300 euros, la Superlight R500 devrait malheureusement rester cantonnée aux routes britanniques en raison d’une homologationmpossible sur les routes françaises impossible.

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